C’est le désir qu’il faut alimenter,
certainement pas le manque à combler.
Encore un leurre, combler un manque par la possession,
la consommation est un puit sans fond.
La première gorgée de manque à peine assouvie,
la deuxième plus forte surgit et les autres se précipitent.
Alors qu’alimenter son désir est une cure de jouvence.
Désirer non pas ce que je n’ai pas,
mais ce que je veux vraiment
est un moteur qui se nourrit
de toutes sortes de combustibles.
Le summum étant de parvenir à désirer ce que l’on a déjà !
(PS : si on l’à , c’est qu’on l’a déjà désiré,
il s’agit de retrouver le chemin de ce premier désir)
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