top of page
  • Photo du rédacteurArthur Baudon Vernet

Le faux feu de cheminée et le feu follet.

L’oscillation entre

le doute et la certitude,

l’instabilité et la sécurité.

Suivre un chemin tracé par d’autres

ou prendre celui qu’on s’invente.

Se sentir inadapté, incapable

par rapport aux attendus

de la société.

Elle nous apparait absurde, injuste

quand elle voue au succès

la médiocrité productive,

le laid quand il est performant,

Et pourtant quand on agit en accord avec soi,

totalement en accord

avec son corps et son esprit

ses émotions et ses pensées,

alors on ouvre la porte de la joie.

Une joie qui n’est pas forcément

visible à l’extérieur,

qui n’est pas une garantie de « succès »,

mais c’est une lumière chaude,

couleur de braise, un feu

en permanence en devenir,

un combustible inépuisable.


6 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Qui aime bien châtie bien ! Un combat contre son corps pour le réparer. Une communion solidaire avec la nature, pas celle que l’homme aménage pour l’homme. Celle des loups qui tracent des pistes que l

Mon extérieur me trompe , il trompe mon intérieur, ou le contraire, je ne sais plus. Mon intérieur est vide. Je vais mécaniquement vouloir le remplir de l’extérieur, combler impérativement ce vide et

Le temps file. Je n’ai pas le temps. Rappelles-moi plus tard. J’ai d’autres choses à faire. A bientôt. A très vite ! Le temps et le faire ne nous apparaissent jamais dans la quantité adéquate. On ne d

bottom of page