Les grains de bonheurs, pourtant si petits sur le moment grossissent
avec le temps pour rester à la surface du tamis de la mémoire.
Les malheurs eux, se transforment en poussières passant au travers du chinois.
On ne les oublie pas, mais petit à petit, ils prennent leur juste place, plus petite.
Les effluves de bonheurs remplissant le vide ainsi libéré.
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