Arthur Baudon Vernet
Le tamis ou le chinois ?
Dernière mise à jour : 10 nov. 2020
Les grains de bonheurs, pourtant si petits sur le moment grossissent
avec le temps pour rester à la surface du tamis de la mémoire.
Les malheurs eux, se transforment en poussières passant au travers du chinois.
On ne les oublie pas, mais petit à petit, ils prennent leur juste place, plus petite.
Les effluves de bonheurs remplissant le vide ainsi libéré.
