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Le tamis ou le chinois ?

  • Photo du rédacteur: Arthur Baudon Vernet
    Arthur Baudon Vernet
  • 13 juin 2020
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 10 nov. 2020

Les grains de bonheurs, pourtant si petits sur le moment grossissent

avec le temps pour rester à la surface du tamis de la mémoire.

Les malheurs eux, se transforment en poussières passant au travers du chinois.

On ne les oublie pas, mais petit à petit, ils prennent leur juste place, plus petite.

Les effluves de bonheurs remplissant le vide ainsi libéré.



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Arthur Baudon Vernet
auteur, artiste, philosophie, photographie, poesie, ecriture, ecrivain français
Montpellier, Occitanie, France, arthurbaudonvernet

 

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