Arthur Baudon Vernet

13 juin 20201 Min

Le tamis ou le chinois ?

Mis à jour : 10 nov. 2020

Les grains de bonheurs, pourtant si petits sur le moment grossissent

avec le temps pour rester à la surface du tamis de la mémoire.

Les malheurs eux, se transforment en poussières passant au travers du chinois.

On ne les oublie pas, mais petit à petit, ils prennent leur juste place, plus petite.

Les effluves de bonheurs remplissant le vide ainsi libéré.

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