Certes il y a la poule.
Il y a l’œuf aussi, bien sûr.
Mais il y a aussi le poussin, on ne parle jamais de lui.
Il fait forcement parti de l’histoire, il est même indispensable.
Sans lui l’histoire n’existerai pas.
Mais il n’est pas visible.
Pourtant il a un avis, il n’est ni la poule qui a son existence de poule, ni l’œuf qui a aussi son rôle d’œuf.
Lui, il est entre les deux. Il est ce qu’il doit être.
Comme d’habitude, on ne s’intéresse qu’aux extrêmes.
L’un est un effet, l’autre une cause.
Dans ce cas précis, c’est l’ambiguïté de l’effet et de la cause qui pose question.
Ce paradoxe focalise l’attention, mais s’intéresse t-on à tous les paradoxes de la même façon ?
Tous les paradoxes ont il droit à la même attention ?
Il en va des paradoxes comme des poussins.
C’est l’injustice qui prédomine
On ne parle jamais du poussin.
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