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La vie est belle.

Photo du rédacteur: Arthur Baudon VernetArthur Baudon Vernet

Quand quelqu’un de proche disparait,

comme « on » dit, c’est-à-dire qu’il est mort.

On mesure le rapport qui s’était établit entre lui et nous.

Si l’on a envie de mourir pour se rapprocher

de lui tout de suite, c’est que ce rapport était

de l’ordre de l’amour,

son absence parait incompatible avec la vie qui vit.

Si l’on se sent coupable de vivre,  

alors la relation était intime et puissante,

celle d’une amitié profonde et véritable..

Si l’on poursuit sa vie comme avant,

c’est que finalement l’attachement n’était pas très grand,

ou alors que l’on sait  que dorénavant sa présence,

qui n’était qu’à son contact, est maintenant

permanente puisqu’il vit avec nous

et que nous poursuivons et partageons notre vie avec lui.

Le seul fait d’être vivant nous signe que la vie est belle.

 
 
 

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Arthur Baudon Vernet
auteur, artiste, philosophie, photographie, poesie, ecriture, ecrivain français
Montpellier, Occitanie, France, arthurbaudonvernet

 

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