Le fast food de temps en temps.
Un caprice régressif.
Se nourrir de junk-food
procure ce petit plaisir de l’interdit.
Attention, dans la répétition et la fréquence
on y perdra le goût tout autant que son âme.
Le petit restau du coin, comme un petit bonbon
jamais désagréable, mais toujours petit.
L’étoilé pour les grands soirs,
sophistiqué toujours,
parfois raffiné, épisodiquement sublime.
Le repas improvisé avec ce que l’on a sous la main.
Celui-là peut parfois se transformer en feu d’artifice
quand une pincée d’alchimie s’y mêle.
Dans tous les cas, toujours un soupçon
de sel et de piment
voire un mélange sucré-salé.
Maintenir les papilles en éveil.
Préférer la zone de turbulence à celle du confort.
Atteinte, une croisière dans le monde de l’ennui s’installe.
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