top of page
  • Photo du rédacteurArthur Baudon Vernet

Les vagues de la campagne.

Le bassin d’eau à la campagne

s’est transformé en mer intérieure.

Le souffle du vent rend réelles les vagues

pourtant imaginaires.

La nuit venue, le souffle est tombé.

Le blanc de la lune se met alors à caresser l’eau.

Sous la grange, les suspensions en forme

d’essaim gargantuesque empêchent

le noir d’envahir la nuit.

La soirée d’été s’installe teintée d’obscurité,

de lueurs et du noir des chauves-souris.





11 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Qui aime bien châtie bien ! Un combat contre son corps pour le réparer. Une communion solidaire avec la nature, pas celle que l’homme aménage pour l’homme. Celle des loups qui tracent des pistes que l

Mon extérieur me trompe , il trompe mon intérieur, ou le contraire, je ne sais plus. Mon intérieur est vide. Je vais mécaniquement vouloir le remplir de l’extérieur, combler impérativement ce vide et

Le temps file. Je n’ai pas le temps. Rappelles-moi plus tard. J’ai d’autres choses à faire. A bientôt. A très vite ! Le temps et le faire ne nous apparaissent jamais dans la quantité adéquate. On ne d

bottom of page