Pour vivre nous n'avons besoin de personne,
mais pour exister, nous avons besoin du regard de l'autre.
Le regard de nos parents , celui de notre ami,
de notre professeur, de notre amour, de notre client,
de nos enfants, de nos fournisseurs, collaborateurs
comme celui de notre boss
autres collègues ou pairs.
Curieusement, plus on le cherche,
plus celui que l'on obtient est un leurre
qui peut séduire mais qui reste , un faux.
Si l’on fait de son mieux sans rien attendre
d’autre que de le faire,
un regard vrai peut se manifester,
aucun doute, celui ci est sincère et vrai.
Alors, nous sommes cueillis, notre force est décuplée
et notre soif de poursuivre notre chemin brule notre gorge
et nos yeux éclairent notre route d'une nouvelle lumière.
Il ne s’agit pas d’une pensée naive ou romantique
il s’agit de l’avoir expérimenté.
Le champ des possibles est beaucoup
plus grand qu’on ne l’imagine.
Mais pour l’apercevoir il exige de savoir
qui l’on est et de le devenir.
Alors l’ouverture aux autres at au monde
est comme un souffle chaud et caressant.
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