top of page
  • Photo du rédacteurArthur Baudon Vernet

24h dans la vie.

L’écriture rend intense

les 24 heures que nous avons tous,

riches, pauvres, malades, en bonne santé,

vieux, jeunes, hommes, femmes,

nous disposons tous de 24 h par jour.

L’écriture permet de vivre plusieurs fois

et différemment les mêmes instants vécus.

Quand je les vis,

quand je me mets à écrire,

quand je me relis,

quand je partage cet écrit avec les autres

et parfois quand j’écris à nouveau

sur le même instant

avec une légère différence dans le regard.

Il ne s’agit donc pas de se perdre

dans une agitation effrénée,

de multiplier les actions, les déplacements.

Il s’agit de prêter attention à

ce à quoi on fait attention,

car ce petit rayon de lumière

dans une flaque d’eau

va précipité le beau dans mon esprit

comme ce regard croisé dans l’escalator

va devenir un amour ou

les bribes de conversations entendues

à la terrasse du café une histoire,

ou encore cette idée nette qui a surgit

en marchant va désembrumer ma pensée.

Une intensité accompagne

parfois de façon extrême ces 24h ,

heureusement ,

il y a les vacances pour se reposer.

4 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Ne rien attendre.

On ne peut pas être conscient des choses tant qu’on ne les a pas interrogés soi-même. L’évolution, la métamorphose, la transformation ne peut advenir qu’après une interrogation personnelle et intime.

La cause et l’effet

On analyse le succès comme on regarde la construction rationnelle d’un mur. Comme si chaque brique avait été posé avec une précision calculée pour dévoiler la beauté du mur achevé. Ou bien dans le cas

Le temps qui passe

Densifier l’éphémère ne signifie pas le remplir d’agitation jusqu’à ne plus pouvoir respirer, mais plutôt intensifier l’attention qu’on lui porte sans vouloir en prendre quelque chose, sans redouter s

bottom of page