Le chemin qui monte dessine
simultanément celui de la descente.
Il peut être sentier, autoroute,
au bord du précipice ou dans la forêt.
Il est pentu, escarpé,
parfois perdu dans les roches sans dessin apparent.
il peut même redescendre pour remonter ensuite.
Il est tout sauf une ligne droite.
Parfois la vue est tellement belle
que l'on ne peut pas faire autrement
que de s’immobiliser pour l’embrasser.
Tellement abrupt, on ne peut prétendre
y avancer qu’avec de minuscules pas.
A d’autres endroits, il fait tellement bon
que l’on s’y repose sur le côté,
jamais trop longtemps
pour ne pas succomber à l’habitude du confort.
Poursuivre cette montée
pour voir ce que l’on voit du sommet, c’est le but !
Maintenant, on sait aussi comment
en redescendre en suivant le chemin
que l’on a tracé pour y accéder.
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