La zone de confort,
c’est bien agréable quand on y est.
A bien y réfléchir,
c’est l’idée qu’on en avait
qui était séduisante et aussi
le chemin que l’on a parcouru pour l’atteindre.
Malgré les ronces, les impasses, les détours,
où c’est peut-être à cause de toutes ces embuches,
on ne sait plus vraiment.
La zone atteinte,
le souvenir du chemin s’évanouit.
Un équilibre surgit, la tentation est forte de ne surtout
plus bouger pour conserver
cette sensation le plus longtemps possible.
Tel le funambule qui s’arrêterait en équilibre
au milieu de son fil pour profiter du paysage,
alors, il tomberait.
Car l’équilibre est une illusion,
comme le confort.
C’est bien l’absence d’équilibre qui créer le mouvement.
Quand on marche, c'est bien un déséquilibre
qui nous fait avancer, non ?
Yorumlar